Alternative Théâtrale Presente

Publié le par florencia cano lanza


Depuis sa creation nous Travaillons pour mettre en scene maison de Poupee avec mes amis

Creation graffic par Florencia
MAISON DE POUPEE

HENRIK IBSEN

Dramaturge norvégien
Né à Skien le 20 mars 1828
Décédé à Christiania (Oslo) le 23 mai 1906

A Propos de l'auteur


Issu d'une famille bourgeoise sur le déclain, il commence sa vie professionelle en travaillant comme apothicaire dans une pharmacie, avec un ami de son père. Il ne tarde pas à quitter le laboratoire où il s'ennui et à écrire deux drames historiques « catilina » et « brand» qui auront un succès litteraire. Après avoir été instructeur au théâtre de
Bergen, il part à Copenhague où des rencontres philosophiques et artistiques alimentent son oeuvre :  « Dame Inger d'Ostraat », « La fête à Solhaug ». Il devient directeur du Théâtre de Cristiania (Oslo). A son retour en Norvège, il fait faillite, il part alors en Europe et développe de nouveaux grands thèmes comme celui de la défense de l'individualisme. Après ses pièces traditionnelles, il n'écrira plus que des drames contemporains où il décrit les tares de la société bourgeoise et l'affrontement entre l'individu et la « majorité compacte »: « L'union des jeunes », « Le Canard sauvage », « Hedda Gabler », « Une maison de poupée » (1879). Avec cette piécele théâtre d'Ibsen s'ouvre sur la société européenne de son temps. Ces pièces, aux personnages denses, expriment, grâce à une profondeur psychologique et symbolique, la position ambigue de l'auteur : s'il critique la morale traditionnelle et défend l'idée que tout homme détient une passion, la clef du tragique d'Ibsen, réside dans le doute, lié à la condition humaine, qui reste infranchissable. Il meurt, à Cristiania le 1906. Poète et auteur dramatique norvégien, Henrik Ibsen a fondé le théâtre de son pays. Son objectif: « placer le spectateur devant la complexité vertigineuse des êtres. Il dépeint l'homme tel qu'il est, sans le simplifier, ni le schématiser ». Il figure désormais au fronton de l'écriture théâtrale, où il côtoie Sophocle, Shakespeare, Molière, Goldoni ou Shiller. Le poète Alexandre Blok, écrivait, « l'œuvre d'Ibsen n'est pas un livre, ou si c'en est un, c'est le grand livre de la vie. On peut aimer Ibsen ou le détester. Mais ni la haine ni l'amour qu'on lui porte ne peuvent être raisonnables.». A cent ans de sa mort, personne n'a réussi à lui ôter le titre de créateur du théâtre moderne. Son oeuvre à influencé les auteurs contemporain ibérique comme Benito Pérez Galdós et Jacinto Benavente, et protégé par le britanique George Bernard Shaw qui l'appelait “le plus grand dramaturgue vivant». Son oeuvre allait se convertir, finalement en un des piliers fondamental de la dramaturgie universel. Il s'est nourrit de l'écriture d' Eugène Scribe, (1791-1861) et Friedrich Hebbel (1813-1863). Il à écrit:



« Catilina (1849) » « Le Tertre des guerriers (1850) » « Norma (1851) »; « La Nuit de la Saint-Jean (1852) » «Dame Inger d'Østråt (1854) »; « La Fête à Solhaug (1855) » «Olaf Liljekrans (1856) »; «Les Guerriers de Helgeland (1857) » «Les Prétendants à la couronne (1863) », « Brand (1865) », «L'Union des jeunes (1868-69) »; « La Comédie de l'amour (1862) » « Peer.Gynt(1867) »; « Les Soutiens de la société » (1875-77) »; « Une Maison de poupée (1879) »; « Les Revenants (1881) »; « Un Ennemi du peuple (1882) »; « Le Canard sauvage (1884) »; « Rosmersholm (1886) »; « La Dame de la mer (1888) »; « Hedda Gabler (1890) »; « Solness le constructeur (1892) »; « Le Petit Eyolf (1894) »; « Empereur et galiléen (1871-73) »; « John Gabriel Borkman (1896) »; « Quand nous nous réveillerons d'entre les morts (1899) »



A propos de la pièce


Henrik Ibsen décrit la condition de la femme réduite à une poupée dans une maison pleine d'hommes faibles et lâches. “Il existe deux lois de l'âme, deux sortes de conscience, l'une chez l'homme et l'autre, totalement différente, chez la femme. Elles ne se comprennent pas, mais dans la pratique de la vie, la femme est jugée selon les termes de la loi masculine, comme si elle était un homme, et non une femme.


« Maison de poupées » à été inpiré de l'affaire dite "Laura Kieler", dont Ibsen avait connaissance. Cet incident jouera un rôle certain dans la construction des conflits dramatiques de la pièce. En 1876, Victor Kieler, s'avéra atteint de tuberculose, et les médecins lui conseillèrent un séjour dans le sud de l'Europe. A l'insu de son mari, Laura contracta un emprunt pour financer le voyage. Elle se trouva peu à peu impliquée dans de sérieux problèmes avec ses créditeurs, au point de se rendre coupable de falsifications de traites, comme Nora, pour trouver l'argent manquant.L'affaire eut une issue tragique. La falsification fut découverte, le mari exigea le divorce, Laura Kieler fut séparée de son enfant, et à la suite de ces rudes épreuves, séjourna pendant un certain temps en asile psychiatrique. Ces faits dans leur ensemble étaient connus d'Ibsen au moment où il travaillait sur Une maison de poupée.


Le personnage de Nora Helmer fut pour les femmes un exemple du modèle feminin luttant pour l'égalité des droits, et malgré sa rebelion, le public bourgeois a su accepter le fait qu'une femme puisse défier la société, brisant ainsi l'institution du « mariage ». Fierté bourgeoise. Rares sont les dramaturges dans le monde qui peuvent se vanter d’avoir construit un rôle d’une épaisseur comparable au personnage de Nora Helmer, confrontée aux conventions sociales de l'époque. Ibsen met en évidence les divergences et les problèmes familiers qui semblent stables mais qui dénoncent un double discours moral, un manque de liberté, une constance de la trahîson et de l'arnaque. Dans ce sens là, l'ouvrage d'Ibsen, signale que la bourgeoisie norvégienne trahit ses idéaux d'égalité, de liberté, et de fraternité et qu'après l'année révolutionaire de 1848 se fut convertit en défenseur des traditions.

Resumé de la Piéce

Nora est mariée à Torvald Helmer, avocat de son état, sur le point d'être nommé directeur d'une banque. Elle est mère de trois jeunes enfants, et coule en apparence des jours heureux au sein de son ménage. Nora, contrainte à trouver discrètement l'argent nécessaire, pour soigner son mari, a contracté un emprunt auprès de l'avocat Krogstad, un camarade d'études de Torvald.

Pour pouvoir fournir la garantie réclamée, elle s'est abaissée à falsifier la signature de son propre père, qui se trouvait à l'agonie. Au fil des années, elle a économisée sur l'argent du ménage pour rembourser les intérêts et le capital, et a même effectuée de petits travaux pour gagner de l'argent par ses propres moyens. La pièce s'ouvre sur la visite d'une vieille amie de Nora, Madame Linde, venue en ville en quête de travail. Nora obtient de Torvald qu'il lui trouve un emploi à la banque. Mais cette initiative suppose que Krogstad, qui y est lui-même employé, soit mis à la porte. Désespéré, celui-ci vient voir Nora et la menace, si son travail lui est retirée, de raconter à Torvald la vérité sur le prêt et la falsification de signature. Elle songe à demander la somme au Docteur Rank, un vieil ami de la famille. Mais le prier de lui rendre un tel service devient subitement impossible quand celui-ci lui fait l'aveut de son amour.

De fil en aiguille, Torvald finit par apprendre ce qui s'est passé. Sa réaction, qui n'exprime que rage et dégoût, ne laisse présager nulle intention de prendre sur lui la responsabilité de la faute. Madame Linde a eu autrefois une liaison avec Krogstad : elle obtient du maître chanteur qu'il change d'attitude et retire ses menaces. Mais pour Nora, la lumière a commencé à se faire sur la réalité de son mariage. Au cours d'un dialogue dramatique avec Torvald, elle déclare que son devoir le plus important, le seul qui compte, est de partir seule à la découverte du monde pour "s'éduquer elle-même". Sa décision est prise : elle quittera son mari et ses enfants.


Extrait

Acte II pag. 156

NORA

Qu'exigez-vous, alors?

KROGSTAD

Vous allez le savoir. Je veux me remettre sur pied,

Madame, je veux y parvenir. Et votre mari doit m'y aider.

Pendant un an et demi, je ne me suis rendu coupable d'aucune malhonnêteté.

Pendand tout ce temps, j'ai lutté contre les conditions les plus dures.

J'étais content de remonter, pas à pas, par mon travail.

Et maintenant, on me chasse et je ne me satisferai pas de n'être repris que par pitié.

Je veux parvenir, vous dis-je. Veux rentrer à la Banque...Obtenir un poste plus élevé.

Votre mari doit créer un poste pour moi.

NORA

Cela, jamais il ne le fera !

KROGSTAD

Il le fera, je le connais, el n'osera pas reginber.

Et si je suis à la tête de cette affaire avec lui, alors, vous allez voir!

D'ici un an, je serai le bras droit du directeur.

Ce sera Nils Krogstad et non Torvald Helmer qui dirigera la Banque.

NORA

Cela, vous ne le vivrez jamais !

KROGSTAD

voulez-vous, peut-être...?

NORA

Oui, maintenant, j'en aurai le courage.

KROGSTAD

Oh! vous ne m'effrayez pas. Une belle dame délicate comme vous...

NORA

Vous aller voir, vous allez voir!

KROGSTAD

Sous la glace, peut-être? Oui, dans l'eau glacée, d'un noir de charbon?

Et puis, au printemp, remonter à la surface, laide, méconnaissable, sans cheveux...

NORA

Vous ne m'effrayez pas.

KROGSTAD

Vous non plus, vous ne m'effrayez pas. Des choses de

ce genre, ça ne se fait pas, madame Helmer. Et puis, à

quoi cela sevirait-il? Je l'ai tout de même dans

ma poche.

NORA

Même aprés coup,quand je ne serai plus...?

KROGSTAD

Oubliez-vous que, même alors, je disposerai de votre

memoire?

(Nora reste sans voix et le regarde)

KROGSTAD

Eh bien, maintenant, vous voilà prévenue. Pas de sottises!

Quand Helmer aura reçu ma lettre, j'attendrai sa réponse.

Et rappelez-vous bien que c'est votre mari qui m'a forcé à faire cette démarche.

Je ne le lui pardonnerai jamais. Adieu, Madame.

(il sort par le vestibule)

A propos de la mise en scène

Je voudrais dépasser le réalisme d'Ibsen dans une mise en scène qui nous tranportes dans une autre dimension plus onirique et singulière. Pour dédramatiser cette pièce, je propose un univers surréaliste qui va sublimer et articuler en même temps les dispositifs de jeu d'acteurs, la création musicale; le décor; la mise en lumière en ombre chinoises et le support vidéo dans unhhhhhhà un moment d'art et de dérision théatre « conflit »

Le conflit que je veux montrer est la fragilité de l'institution familiale

Pour sublimer cette fragilité, je voudrais mettre en relief le sentiment tragi-comique de l'histoire et de chaque personnage

La pièce est un drame réaliste que j'aimerais restructurer de la façon suivante :


Je vais me servir d'un mécanisme de mise en lumière pour créer les diverses espaces de jeux: un support vidéo pour combiner la réalité et la fiction; un décor transparent qui illuminera le personnage et qui signifiera la fragilité entre le rapport personnel (comme Ibsen disait : une maison bourgeoise doit être en verre)

Je pense qu'un « plateau de tournage de cinéma » est le lieu le plus adéquat pour symboliser cette fragilité, donc je m'inspire de l'ambiance cinématographique et de l'art plastique des artistes surréaliste pour sublimer cette mise en scène.

Je vais me servir de l'expérimentation théâtrale, pour créer une gestuelle dans le réalisme le plus adéquat afin de rejoindre les figures de la parole et ses états; Je vais révéler le réalisme dans un surréalisme et la modernité de notre époque en utilisant les différents mécanismes de création: La méthode de l’étude héritée de Stanislavski ; la technique verbale, en passant par les structures de jeu ludiques et psychologiques et la Musicalité de l'acteur.

Le rendu de ce spectacle sera la performance des comédiens, alliée à la fusion de l' art plastique, musicale et cinématographique qui sauront mettre en avant la poétique de l'auteur.



Ressources techniques


Les lumières tendre et les éclairage au ras du sol viendront afficher le contraste entre l'esprit de liberté, la vérité et les contraintes sociales et morales. Pour affirmer les droits du présent devant les spectres du passé, le symbolisme du non-dit et de la morale, les ombres chinoise apporteront une solution à la mise en scène. Les effets d'ombre et de lumière seront projeté sur un tissu tendu dans une structure en carré . Ce dispositif peut être utilisé au moment des entrées et sorties des personnages et deplace pour créer l'espace de jeu.

Pour symboliser la fragilité et les névroses des personnages nous allons créer un décor léger en apparence, vitré, tranparent, illuminé, qui fera l'appui sur la fragilité de la vie familiale. Pour accentuer ce côté éphèmere, la mise en lumière est essentielle, dans une univers cinématographique.



Les éléments du décor


Un panneau à droite au fond ouvre sur le vestibule;Au milieu du mur, à gauche, une entrée, et, plus loin en avant, une ouverture en fênetre; une table carré vitrée ; 2 rectangles semi-transparent illuminés par en dessous ; un autre panneau à gauche. Entre ces deux panneau, un piano.

Equipe Artistique



Amaia Betelu
Rôle de Nora



Après avoir suivi une formation théâtrale au cours florent elle part pour l'Espagne sa terre natale où elle intègre les classes du conservatoire national de Madrid.( RESAD). Elle joue notamment dans divers théâtres à Madrid. Elle Elle participe à toutes les réalisations de la compagnie Alternative théatrale, elle tient le rôle de Nora

Mariana Bevacqua

Rôle de Mme Linde



Composition musical

Musicienne de profession, Pianiste, compositeur et comédienne elle fait ses études au Conservatoire National Lopez Buchard, Buenos Aires (Argentine), à l’Université Fédéral de Paraná (Brésil) et auprès de Susana Bonora; au Conservatoire Manuel de Falla de Buenos Aires et avec Andrea Canzi et Caterina Calderoni, à Milan (Italie) et à l’Ecole de Musique Populaire d’Avellaneda où elle obtient son diplôme. Elle se spécialise au piano-tango auprès de Rodolfo Mederos, Anibal Arias, Rodolfo Alchourrón et Beba Pugliese.

Elle fait et participe à la Composition de la Bande sonore du film « Hijos-Figli » de Marco Bechis (Italie, 2001). de « Sacré Printemps » de la Cie. Théâtre Fantastique à la Maison des Arts de Créteil (2005). Elle enregistre l’album « Buenos Tangos » (Halidon, Italie, 2003) avec l'ensemble Nuevos Aires et l’album « Antiborges, Opéra » (Acquaviva, Italie, 2004), avec la poétesse Alda Merini. Elle travaille comme pianiste, compositeur et arrangeur de plusieurs groupes de tango en France et à l’étranger, avec de nombreuses tournées internationales. Elle reçoit le Premier Prix pour la composition « Grito Final » dans le cadre du concours Hugo del Carril organisé par le Secrétariat à la Culture de la Ville de Buenos Aires (2000).

Elle se rapproche de la scène comme comédienne dans « Victor ou Les enfants au pouvoir » (de Roger Vitrac) avec la Rex Cie. dans le rôle d’Ida Mortemart, avec Susana Lastreto (école Lecoq) dans « Amoureusement vôtre » au théâtre 14; « La gelée d’arbre » (de Hervé Bloush) de la Rex Cie., à Paris. « Tresilusas » de la Cie. GIPEM, à Buenos Aires. Participe au cinéma avec Pascal Thomas, Claude Berri et Claude Miller (France) et pour la télévision dans « La mujer del Presidente » et « Coro de ángeles » (Argentine); Raúl Iaiza (Odin Teatret, Danemark), Susana Rivera et Miguel Pitier (Université de Buenos Aires). Cours de clown avec Gabriel Chamé (Cirque du Soleil, Canada), Hernán Gené (Extravagante Teatro, Espagne) et Cristina Marti (Université de Buenos Aires). Cours de danse contemporaine, tango et chant en France et à l’étranger. Elle est à la recherche stylistique du tango au féminin et nouvelles compositions, depuis cinq ans, avec la chanteuse Paóla Dell’Erba pour le duo Fulanas. Elle fait partie de touts les projets de la compagnie Alternative Théâtrale.



Anthony Courret

Rôle Krogstad, avocat




Il effectue sa formation théâtrale au sein de la « classe libre » dirigée par Jean-Pierre Garnier et Stéphane Auvray-Nauroy à l'Ecole Florent. Il joue notamment dans Nous mourrons et vous nous oublierez, d’après la supplication de Sergueï Alexievitch, au théâtre 71 – Malakoff, Occupe-toi d’Amélie de Georges Feydeau au théâtre le Trianon. Il intègre la Compagnie des Dramaticules et participe à toutes les réalisations de la compagnie. Il joue au théâtre 13, Macbett de Ionesco




 

Julien Buchy

Rôle de Torvald Helmet, avocat

 



Après avoir suivi une formation théâtrale dans les classes de Michel Fau et Stéphane Auvray-Nauroy, il joue notamment dans Les femmes savantes de Molière, Pasiphaé d’ Henri de Montherlant, Esther de Jean Racine, La jeune fille, le diable et le moulin d’ Olivier Py, Psyché de Corneille, Chat en poche de Georges Feydeau. En octobre 2002, il intègre la Compagnie des Dramaticules et participe à toutes les réalisations de la compagnie. En 2005, il joue le rôle de Macbett dans Macbett de Ionesco au théâtre 13, repris au théâtre du Balcon en Avignon et en tournée.

En 2006, il joue Rated X, une création d'A.Pavia au théâtre MC de Bobigny.



  Laurent PAPOT

Rôle de Docteur Rank

Hugo Dillon



Rôle Krogstad, avocat

Il effectue sa formation théâtrale au sein de la « classe libre » dirigée par Jean-Michel Rabeux, Michel Fau et Claude Degliame. Il joue notamment dans Le ventre de Jean-Michel Rabeux, Lulu de Wedekind mis en scène par Michel Fau et Gabegie, mis en scène par Jean-François Mariotti au studio de l’ Hermitage. Au cinéma, il interprète le rôle principal dans Nouveau monde, long métrage réalisé par Thibaut Monbellet. Il tient le rôle de Candor dans Macbett de Ionesco au théâtre 13 du 10 mai au 12 juin 2005.Il joue av

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